Ourcq Living Colors #3, késako ?
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C'est un événement organisé les 5 et 6 juillet par l'association Cultures Pas Sages, dont Da Cruz est l'un des membres et qui se déroulera principalement rue Germaine Tailleferre et rue de l'Ourcq.
► Le projet a entre autres pour but, de continuer à propager des couleurs, d'inscrire l'art au cœur de la ville et le rendre accessible à tous.
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Les invités sont Sane2, Marko93, Astro, Berns, IPNS1, Oz Montania, Panda do transe et Smile.
Tout roule... sauf que, pas tout à fait !
Un tel événement a un coût, 3500 €, et les subventions attendues sont coincées dans les tuyaux. Il reste la solution Kiss Kiss Bank Bank !
► Futurs résidents, pourquoi pas vous ?
"Une balade urbaine organisée pour découvrir les origines des fresques colorées au cœur du 19e arrondissement de Paris. La possibilité d'écouter des anecdotes, le parcours des artistes qui sont intervenus, leurs motivations et leur style au cœur d'un quartier en plein renouvellement. Suivez dAcRuZ à travers ce véritable musée à ciel ouvert, et finissez par Le Verre de l'amitié !"
Beau programme, non ?
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Visuel réalisé à partir d'une photo de la rue Germaine-Tailleferre |
Richard m'a envoyé un mail très argumenté pour soutenir cet événement, tellement convaincant que je vous le retranscris en totalité. Oui Richard, il faut soutenir Cultures Pas Sages, oui Richard, Sally et moi sommes très heureux de soutenir ce happening !
Je pense qu'il serait du plus grand intérêt de soutenir ce projet.
Mes raisons sont les suivantes :
► Soutenir des artistes c'est aussi les aider financièrement à présenter leurs œuvres. La grande fresque de l'oiseau, l'hommage à Zoo Project a été entièrement financée par Da Cruz et Marko. Il serait juste que les actuels et les futurs habitants à qui ces œuvres sont offertes au regard contribuent à l'embellissement de leur lieu de vie.
► Soutenir l'association de Da Cruz c'est aider le street art à se maintenir dans un quartier en rénovation. Sans démarche active de soutien des artistes par la municipalité et les habitants du quartier, le street art qui se réduit comme peau de chagrin disparaîtra complètement de nos murs. Un art vivant, dynamique, accessible à tous, s'éteindra au même rythme que la rénovation urbaine.
Da Cruz non seulement a beaucoup travaillé dans notre quartier depuis plus de 10 ans mais il a fait venir d'autres artistes aux styles, aux thèmes, aux techniques différents qui, à leur tour, ont contribué à faire de notre petit quartier un "spot" réputé du street art à Paris.
► Aider Cultures Pas Sages est le moyen le plus évident de montrer aux artistes du quartier que les nouveaux résidents ne sont pas en rupture avec ce qui fait son originalité, démontrer qu'ils s'inscrivent dans cette histoire et souhaitent y prendre leur place.