1951, année du mariage avec Montand - © Keystone France |
qui a pris son nom en 1998, s'étire le long du bassin de la Villette, du côté du quai de la Seine.
Une rangée de tilleuls et une autre de ptérocaryas (essayez donc de le replacer) nous donneront de l'ombre en été.
A mi-chemin entre le MK2 et la passerelle s'élève une sculpture monumentale en fonte de Dominique Labauvie, Horizons suspendus, de 15 m de longueur,
et 6 de hauteur.
Plus loin, les bateaux électriques de Marin d'eau douce offrent une belle occasion de promenade silencieuse sur le bassin et au fil du canal à la belle saison.
Les Chemins de la ville haute, Oscar de la meilleure actrice en 1960 |
L'année 1951 est un tournant dans sa vie quand elle tombe amoureuse d'Yves Montand et quitte son mari. Toc.
Peu après, Casque d'or de Jacques Becker (1951), Thérèse Raquin de Marcel Carné (1953) et Les Diaboliques d'Henri-Georges Clouzot (1954) l'assoient définitivement en bonne place dans le cinéma français.
Elle est la première Française à recevoir un oscar de meilleure actrice en 1960 grâce au film britannique Les Chemins de la ville haute (Room at the Top) de Jack Clayton.
C'est dans les années 1970 qu'elle interprète des rôles dramatiques ou politiques marquants : L'Aveu (Costa-Gavras, 1970) avec Yves Montand, Le Chat, et La Veuve Couderc (Pierre Granier-Deferre, 1971), respectivement avec Jean Gabin et Alain Delon, Police Python 357 (Alain Corneau, 1976) avec Yves Montand et bien sûr La Vie devant soi (Moshé Mizrahi, 1977) pour lequel on lui remet le césar de la meilleure actrice en 1978.
Par la suite, sa santé déclinant, ses apparitions à l'écran se font rares : elle tourne une série pour la télévision, Madame le juge, puis pour le cinéma L'Etoile du Nord (Pierre Granier-Deferre, 1982).
Simone Signoret meurt en 1985, elle est enterrée au cimetière du Père-Lachaise.
Bientôt, la suite de la promenade, avec Yves Montand
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