Les 8 quartiers populaires parcourus par Henri Calet sont : La Villette, Amérique, Combat, Pont-de-Flandre, Saint-Fargeau, Belleville, Père-Lachaise et Charonne.
Cet ouvrage qui ne manque pas d'intérêt ne compte qu'une soixantaine de pages consacrées au XIXe arrondissement.
Extraits de la présentation de Jean-Pierre Baril
Huit quartiers de roture est donc un ouvrage inédit, victime de quelques mésaventures, qu'Henri Calet tenta maintes fois de publier entre 1950 et 1955. Surpris par les atermoiements d'un éditeur bruxellois, puis consterné par la faillite des éditions Vineta, l'écrivain entreprit l'adaptation radiophonique de son ouvrage en 1952. Par la suite, conforté par le succès de ces émissions, Calet souhaita de nouveau publier Huit quartiers ; mais plusieurs éditeurs refusèrent son manuscrit, auquel il continua de travailler avec la collaboration de Christiane Martin du Gard jusqu'en 1955.
Dans Huit quartiers de roture, Calet nous invite à parcourir les XIXe et XXe arrondissements de la capitale. Un voyage dans le Paris populaire d'autrefois, au lendemain de la guerre, une vingtaine d'années avant la destruction de l'Est parisien, du passage Julien-Lacroix et de la rue Vilin, et de tant d'autres lieux, aujourd'hui disparus, dont il ne reste rien.
Huit quartiers de roture est donc un ouvrage inédit, victime de quelques mésaventures, qu'Henri Calet tenta maintes fois de publier entre 1950 et 1955. Surpris par les atermoiements d'un éditeur bruxellois, puis consterné par la faillite des éditions Vineta, l'écrivain entreprit l'adaptation radiophonique de son ouvrage en 1952. Par la suite, conforté par le succès de ces émissions, Calet souhaita de nouveau publier Huit quartiers ; mais plusieurs éditeurs refusèrent son manuscrit, auquel il continua de travailler avec la collaboration de Christiane Martin du Gard jusqu'en 1955.
Dans Huit quartiers de roture, Calet nous invite à parcourir les XIXe et XXe arrondissements de la capitale. Un voyage dans le Paris populaire d'autrefois, au lendemain de la guerre, une vingtaine d'années avant la destruction de l'Est parisien, du passage Julien-Lacroix et de la rue Vilin, et de tant d'autres lieux, aujourd'hui disparus, dont il ne reste rien.
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