samedi 31 janvier 2015

La péniche Antipode, pour notre 5e Rencontre


Pour notre 5e Rencontre, Lise nous accueille sur sa péniche Antipode, dimanche 8 février. Si une envie irrésistible vous pousse à venir nous rejoindre n'hésitez-pas, contactez-nous, pour que nous puissions vous envoyez les modalités de cette réunion.

Classe, l'entrée du 16/18 rue de l'Ourcq !


vendredi 30 janvier 2015

La Villette vue par martinesan

La Rotonde de La Villette©martinesan
Martine Kervagoret – alias martinesan – comme Marie-Christine Compan, Marion Rivolier et Delphine Priollaud-Stoclet fait partie du collectif Urban Sketchers Paris mais contrairement aux autres artistes je n'ai trouvé aucune information complémentaire.

La Grande Halle de La Villette et la fontaine aux Lions-de-Nubie©martinesan
La Cité des Sciences et de l'Industrie et la Géode©martinesan
La Cité des Sciences et de l'Industrie - ©martinesan
La Géode©martinesan
Folie de Tschumi ©martinesan

jeudi 29 janvier 2015

Canal Square sur LCP


LCP, la chaîne parlementaire, dans le dernier numéro de Transportez-moi – dont le sous-titre est Le rail de proximité – montre furtivement Canal Square. C'est un reportage sur la Petite Ceinture qui dure environ 5 minutes et on y voit notamment Pierre Folk, dont je vous ai déjà parlé dans La Petite Ceinture par Pierre Folk. Merci Jacques pour avoir repéré ces apparitions fugitives.

Pierre Folk avec son matériel sur "notre" pont !
La vidéo devrait commencer directement avec le reportage sur la Petite Ceinture qui se situe vers la 20e minute. Pour les gens pressés, Canal Square apparaît à 23'11 et 24'39.


mardi 27 janvier 2015

Rue de l'Ourcq, la guerre des crews

De notre correspondant, Richard, qui suit au jour le jour les mouvements de troupe.

    



Rue de l'Ourcq, vendredi 23 janvier, 11 heures GMT
Après la sauvage attaque des tagueurs de la bande de Nite sur deux fronts, le quai de la Marne et la rue de l'Ourcq, dans la nuit de jeudi à vendredi, et après une période d'accalmie les hostilités ont repris.

             


Je vous rappelle l'essentiel des mouvements de troupe. Dans un premier temps, dAcRuZ, seul, a repeint son Inca quai de la Marne. Avec Marko, ils ont mis en chantier une très ambitieuse fresque. Elle est composée de quatre éléments principaux savamment et harmonieusement coordonnés : un superbe perroquet peint par dAcRuZ dont nous publions la photographie dans une phase de réalisation bien avancée, un singe et un portrait de Frida Kahlo peint par Marko, un perroquet faisant pendant à celui du côté droit peint par dAcRuZ. Nous nous réjouissions, un peu vite, de ces remarquables fresques articulées autour d'une relecture graphique du portrait de Frida Kahlo. Les deux artistes avaient l'intention de développer le thème de la peintre mexicaine célèbre pour ses amours avec le muraliste Diego Rivera et des amants et des amantes de passage. De cette icône de la révolution mexicaine, les artistes ont abordé une image sous une forme fantasmée qui renvoie à l'imaginaire fécond de Frida Kahlo.

Dans la nuit, les assaillants ont surgi de nulle part et ont ciblé leur attaque sur la fresque du perroquet de dAcRuZ. Les armes utilisées sont particulièrement redoutables : à la bombe aérosol, ils sont intervenus sur l'œuvre pour en gâcher le stade préparatoire. Les dégâts sont considérables au regard des heures de préparation de la fresque. Le perroquet de gauche, aux ailes déployées et aux couleurs éclatantes, est mort.
Les vandales ont signé leur saccage et fait connaître leur revendication. Les signatures suivies du mot anglais "now" (les belligérants étaient-ils Anglo-Saxons ? Dans l'état actuel de nos sources, nous ne pouvons ni confirmer ni infirmer cette hypothèse) signifient qu'ils sont désormais maîtres de cette partie du territoire.

La question qui nous vient aux lèvres est : pourquoi tant de haine ? D'autres fresques anciennes dont certaines sont fort laides auraient pu sans grave dommage pour l'histoire du street art en France être recouvertes. dAcRuZ, dont les autres œuvres dans notre quartier ont été préservées, a découvert l'étendue des dégâts. Couvrant son œuvre massacrée, il menace ses adversaires : "ça fait deux fois, le quartier vous attend", "Ourcq vous surveille", "Attention". Les insultes s'inscrivent en lettres de sang : "toys bouffons".

             


Nos experts de la chose militaire se perdent en conjectures : la bande de Nite est-elle celle de Toys ? Ils retiennent le rapport des forces : un quartier entier, jour et nuit (c'est nuitamment que les opérations de commandos sont menées), surveillent les fresques de dAcRuZ. Nous avons, chers lecteurs, contacté la victime dAcRuZ qui se remet avec courage et détermination de cette sournoise contre-attaque : avec philosophie, il justifie cette offensive comme étant la loi de la rue. Dès le mercredi 28 janvier, il envisage de reprendre le combat.



Le perroquet, à peine né et déjà mort, tel le phénix, renaîtra-t-il de ses cendres ? Votre serviteur et correspond de guerre apportera son soutien à la juste cause de nos artistes locaux et vous tiendra au courant, heure par heure, s'il le faut, des affrontements qui, pour l'instant, restent artistiques.

En avant la musique !


La mairie du XIXe arrondissement, avec le visuel de sa carte de vœux, 
souligne l'importance de la musique dans notre arrondissement
avec l'ouverture de la Philharmonie.

lundi 26 janvier 2015

C215 à l'honneur

Le magazine Graffiti Art #24 donne les 10 street artists qui les ont particulièrement marqués sur la scène mondiale durant l'année 2014. Figure en tête d'article un artiste que l'on aime bien, C215. L'article relate ses nombreuses expositions ainsi que son pochoir en faveur de la ministre de la Justice, Madame Taubira.

Les posts parus en 2014 sur C215

dimanche 25 janvier 2015

L'avenir de la Philharmonie par Daniel Barenboim

La Philharmonie vient d'être inaugurée et les médias en ont largement parlé. Le magazine archiSTORM #70 consacre un dossier d'une dizaine de pages sur ce nouveau lieu consacré à la musique, avec un encart relatant les propos de Daniel Barenboim, recueillis par Pascal Huynh.
Réjouissant !

Je ne cesse d’entendre : "La Philharmonie ne va jamais réussir à s'imposer, elle est trop à l’écart de la vie musicale parisienne d'aujourd'hui".
Mais toutes les nouvelles salles construites dans les grandes villes européennes et à l’étranger sont excentrées. La Philharmonie de Berlin, inaugurée en 1963, était ainsi toute proche du Mur. L'évolution de l’architecture et des considérations pratiques ont eu pour conséquence un éloignement du centre-ville, à Rome comme à Copenhague, à Londres comme à Berlin. Je ne me fais pas de souci pour la Philharmonie de Paris. 
[…] En ce qui me concerne, je suis convaincu que la Philharmonie va rencontrer un très grand succès. Loin des discours pessimistes que l’on peut entendre, je me réjouis de cette opportunité et me sens très honoré de pouvoir participer à cette aventure dès ses débuts.

La Petite Ceinture de Thomas Jorion dans archiSTORM

archiSTORM #69
Vous vous souvenez de La Petite Ceinture vue par Thomas JorionJe viens de retrouver ce photographe dans la rubrique portfolio du magazine archiSTORM, illustrée par une photo prise de la gare Pont-de-Flandre.

Avec une image et quelques mots, la rubrique portfolio vous présente l'œuvre, la démarche et le parcours d'un photographe d'architecture.

Le travail de Thomas Jorion (né en 1976. Installé à Paris) s'élabore dans le champ spécifique des bâtiments en ruine ou en cours de démolition, des lieux désormais déchus tant de leur usage que de leur fonction. Son geste photographique explore les rapports avec l'environnement construit en privilégiant des espaces délaissés qu'il nous incite à observer en induisant une réflexion sur la matérialité et la temporalité.
Thomas Jorion réalise ses images avec une chambre photographique 4x5" ainsi que des négatifs couleur.

L'aigle, Paris, 2009 - ©Thomas Jorion - archiSTORM
La ligne oubliée
En 1996, j'ai découvert la petite ceinture alors que je cherchais un accès aux catacombes. À l'instant où je posais mes pieds sur les rails, je fus saisi par cet univers urbain incroyable. J'étais transporté dans un environnement à nul autre pareil, je découvrais un Paris alternatif qui abritait tunnels et jardins aériens. Des sections de ville entière à explorer où le silence n'était interrompu que par des rencontres marginales.

Je pensais visiter un espace en sursis, à la disparition imminente, englouti rapidement par la spéculation immobilière galopante. Mais il n'en fut rien. La petite ceinture se trouve toujours au milieu de nombreux intérêts divergents qui la laissent en sommeil. C'est le pire destin qui pouvait lui arriver. Sans projet d'ensemble, elle est morcelée et perd de sa superbe. J'ai décidé de réaliser cette série photographique pour documenter cet espace au futur incertain et essayer de sensibiliser les Parisiens à la protection de cet endroit unique.
Thomas Jorion

samedi 24 janvier 2015

Petit tour de Didier à la Philharmonie

    


Inaugurée mais... pas terminée.

    


vendredi 23 janvier 2015

M. Papoul, "l'homme qui sait tout sur le canal de l'Ourcq"

Bizarre, alors que je [Richard] ne crois pas au destin, je crois au hasard. Seul le hasard m'a permis de rencontrer "l'homme qui sait tout sur le canal de l'Ourcq". Je vais vous raconter ma rencontre et mes récentes découvertes.

Il y a plusieurs mois, nous avons publié un post sur la cristallerie Schweitzer. Au hasard d'une promenade, j'avais découvert un atelier de cristallerie encore "dans son jus". Des tours disposés face au canal, quai de Jemmapes, pour profiter de la lumière, des engrenages, des poulies, des courroies. Seule la force motrice de la roue à aubes du XIXe siècle a été remplacée par un petit moteur électrique. Je croyais avoir compris le principe : une roue à aubes dans le canal fait tourner un axe qui, par un système d'engrenages, génère une énergie motrice. Le simple constat que le faible courant du canal ne peut pas entraîner une roue à aubes m'a amené à essayer de comprendre la relation entre le canal et la cristallerie.

Ateliers d'entretien du canal à Pantin
N'écoutant que mon courage, hardi reporter, je suis allé frapper à la porte de la Direction de la Voirie et des déplacements, service des canaux, dont une partie des bureaux est installée quai de la Loire. Gentiment reçu, j'explique l'énigme, les dames ne savent pas quelle est la solution de ce nouveau mystère de Paris mais, hasard, connaissent "l'homme qui sait tout sur le canal de l'Ourcq". Une dame avenante me note le nom et le téléphone sur un petit bout de papier.

Aussitôt, je téléphone à M. Jean Papoul. Il m'explique qu'il travaille au service des canaux depuis plus de 40 ans et que c'est lui qui a constitué le fonds d'archives du canal qu'il a disposé aux Archives de la Ville de Paris et que, de facto, il est chargé des relations avec le public. Bingo, il accepte de me recevoir dans les bureaux du 60-62 quai de la Marne. Adorable, érudit, disponible, pendant deux heures il répond à toutes mes questions. J'apprends plein de choses sur un canal que je croyais connaître depuis l'enfance : il connaît son histoire, il travaille avec les éclusiers et les services des travaux de la Ville... Bref, il connaît tout le monde et sait tout. Et en plus, passionné par son sujet, il sait faire vivre par des anecdotes sa connaissance quasi exhaustive du canal de l'Ourcq.

Bassin de Pantin
En vrac, il m'apprend que la Ville de Paris est propriétaire et entretient un réseau fluvial de 130 km de voies navigables. Pour ce qui nous concerne, le canal de l'Ourcq qui s'écoule sur 97 km de Mareuil-sur-Ourcq dans l'Oise à Paris, le canal Saint-Martin qui s'étire sur 4,5 km entièrement situé dans Paris, le canal Saint-Denis qui coule sur 6,6 km, de Paris à Saint-Denis. Ajoutons la rivière Ourcq en amont de Mareuil-sur-Ourcq, les affluents (la Collinance, la Gergogne, la Thérouanne, la Beuvronne).
Il résout mon énigme sur la cristallerie : située en aval d'une écluse du canal Saint-Martin, une conduite forcée prise depuis le niveau haut de l'écluse (en amont, vous suivez ?) entraîne dans le sous-sol de l'atelier une roue à aubes ou une turbine. À la fin du XIXe siècle et au début du XXe, des ateliers, des usines, sont venus s'installer sur les bords du canal pour tirer parti de la force motrice de l'eau.

J'apprends également qu'il y a 10 écluses sur les canaux de l'Ourcq, Saint-Martin et Saint-Denis, 3 ponts levants, 2 usines élévatoires... Montrant mon intérêt pour les écluses, M. Papoul, m'invite à faire une croisière sur le canal et à découvrir l'écluse du pont de Flandre. Je dis mon intérêt, en fait c'est une façon de me ménager : dit plus clairement, je n'ai jamais bien compris le fonctionnement des écluses.

La demi-flûte Ariane
Un lundi de novembre bien parisien, sombre, froid et pluvieux, je me rends en métro dans les ateliers d'entretien du canal, avenue Jean-Lolive à Pantin. On rentre du côté rue et en face nous nous trouvons sur les bords du canal, plus précisément sur les bords du bassin de Pantin. Ce bassin est plus large que celui de la Villette, les péniches y déchargent du sable, du gravier, enfin tout ce qui est nécessaire pour faire du béton. C'est le seul trafic ; les péniches ne vont pas plus loin. L'activité ne cesse de décliner : une quinzaine de péniches par semaine. Paris veut conserver ce transport qui pérennise la batellerie sur le canal.

Nous embarquons sur une flûte. Plus précisément une demi-flûte. Rien à voir avec le champagne. Les flûtes étaient les péniches qui naviguaient sur le canal. Elles étaient fabriquées dans des ateliers qui bordaient le canal Saint-Denis. Le canal étant étroit, ne pouvant manœuvrer pour rebrousser chemin, elles avaient deux proues. Comme notre bateau l'Ariane, aménagé pour transporter 30 personnes. Vous me direz : pourquoi faire un canal aussi étroit qu'il ait fallu construire des péniches sur mesure, et qui pouvaient se croiser ? Pour comprendre, il faut se dire que le canal de l'Ourcq, c'est comme un aqueduc à ciel ouvert. Il a été creusé pour approvisionner la capitale en eau. Aujourd'hui encore, au niveau de Jaurès, une prise d'eau alimente un réseau d'eau non potable qui sert au nettoiement (bah oui, il y a deux réseaux à Paris, un d'eau potable et un d'eau non potable).
Au début XIXe siècle, la fonction était l'alimentation en eau potable, stockée dans le bassin de La Villette (qui existait avant la construction du canal). Voilà pourquoi les eaux usées et les effluents industriels ne se sont jamais déversés dans le canal. Depuis sa construction l'eau est quasiment la même : ce sont les normes européennes de potabilité qui ont changé. Maintenant, je ne vous invite pas à la boire ! Habitués à l'hygiène, nous sommes moins résistants aux bactéries et petites choses qui prolifèrent dans l'eau verte. D'ailleurs, les poissons se portent bien. Merci. Ils sont même si abondants que la Ville les pêche et qu'ils font les délices d'une vraie colonie de cormorans dont le nombre chaque hiver commence à inquiéter le service des canaux (les sociétés de pêche s'acquittent de droits pour leurs membres et, bien sûr, ils n'aiment pas les cormorans... qui ne paient pas de taxes).

Carrefour des canaux. J'apprends que le canal de l'Ourcq ne peut être vidé (comme le canal Saint-Martin) parce qu'il alimente Paris en eau (je sais, je l'ai déjà dit, mais il faut le répéter). Conséquence, les travaux sont faits sans le vider, avec des scaphandriers, des dragues etc. Pas simple, très coûteux et des revenus de la batellerie qui ne cessent de baisser (c'est marrant ça, les péniches qui empruntent les écluses et les canaux paient une taxe en fonction de leur tonnage comme sous l'Ancien Régime).

    



Écluse du pont de Flandre. En fait deux écluses, une petite qui ne sert plus et une grande. La dénivellation est de 10 mètres (à l'origine, il y avait deux écluses de 5 m). L'Ariane entre pour se faire écluser (c'est le terme, moi je l'employais dans d'autres circonstances). Le bateau descend relativement vite, une dizaine de minutes. L'eau qui est entre les biefs (dans l'écluse quoi), par gravité, c'est-à-dire par son poids, entre dans des canalisations situées de part et d'autre de l'écluse et est rejetée de l'autre côté. Quand c'est vidé, la porte actionnée par des vérins s'ouvre. C'est ça que je n'avais pas pigé : ce n’est pas en ouvrant la porte qu'on fait sortir l'eau. Je n’avais pas vu les gros tuyaux. Normal, on ne les voit pas. Au début du XXe siècle, les éclusiers utilisaient un vaste bassin situé entre les deux écluses : l'eau passait de l'écluse dans le bassin et réciproquement, par gravité, pas de moteur.



Du pont de Flandre, dans une salle, style "tour de contrôle" avec des caméras, des animations graphiques, les éclusiers gèrent les écluses du canal Saint-Denis et du canal Saint-Martin.

Fin de la visite, une dernière info pour la route : un héron habite depuis plusieurs années sur les bords de notre canal entre le quai de Jemmapes et le carrefour des canaux. Je l'ai rencontré un jour, la nuit, en sortant du MK2 : sympa, j'ai pu le photographier au flash à moins de 2 mètres... et il posait le bougre, comme une star sur la Croisette.

jeudi 22 janvier 2015

Merci pour le chocolat !





La ferme du Rouvray

À la fin du XIe siècle, Philippe Ier fournit une colonie de serfs aux religieux de Saint-Martin afin de les aider à l'assèchement et à la mise en valeur de leurs marais de Pantin. 
Une trentaine de serfs abattent une ancienne forêt de chênes rouvres afin d'y édifier la ferme du Rouvray, véritable nourrice des religieux de Saint-Martin durant des siècles. Les bâtiments de la ferme étaient situés sur un domaine couvrant, approximativement, une zone comprise entre les nationales 2 et 3, le cimetière parisien et une partie du Parc de La Villette. Au XVe siècle, le prieur de Saint-Martin doit bien admettre que son domaine du Rouvray n'est plus rentable. La ferme est louée à bail mais c'est insuffisant. Au siècle suivant, les moines négocient la vente de la seigneurie qui passe en des mains laïques.

Sous le second Empire, un Monsieur de Chambelland acquiert les terres des " fonds de Rouvray" et de la "clôture de Rouvray", autour de l'ancienne ferme. Elle ne ressemble en rien à ce qu'elle avait été du temps de sa splendeur car un bourgeois parisien l'avait, d'ores et déjà, convertie en résidence campagnarde transformant quelques champs en jardins anglais et avait installé une fabrique d’huile. La ferme est restée dans la mémoire du quartier qui a pris son nom.

Cie des Poivres et des Riz à La Villette

Ce vieux buvard reste une énigme, je n'ai rien trouvé !

mercredi 21 janvier 2015

Démontage de l'échafaudage


Antoinette vient de nous faire parvenir une photo montrant
que le démontage de l'échafaudage du bâtiment A est commencé.
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